Le rire occupe une place immense dans l'oeuvre de Marguerite Duras car il touche aux articulations habituelles qui se nouent, pour l'écrivaine, autour du privilège accordé à l'instant, au spontané, au ravissement et aux manifestations du corps. Une question demeure toutefois : si le rire est omniprésent dans les textes, devons-nous pour autant considérer que le corpus durassien porte à rire ou à pleurer (de rire) ?.